Bonnet Muchacha en polar, doublé polar, coutures apparantes et broderies.
toutes les couleurs sont possibles!
sur mesure à partir de votre tour de tête.
jeudi 28 août 2008
Nouvelle collection!
en avant première, un extrait de la petite collec' hiver 2008/2009
vendredi 1 août 2008
Pour toi...
Salut ma Fred !
Tu dois être bien surprise de te voir là, toi qui n’es jamais la première à te mettre en avant…
Je voulais pour une fois que ce soit de toi qu’on parle, toi ma meilleure amie depuis 25 ans !
25 ans qu’on se connaît, qu’on se côtoie, qu’on partage nos vies.
Il y’ a un proverbe qui dit « un ami c’est celui qui vous connaît et qui vous aime quand même »… je crois que ça s’applique parfaitement à toi…
En 25 ans, je crois que je n’ai pas été toujours l’amie rêvée et pourtant tu es toujours restée la même pour moi…
Il faut dire qu’on pouvait faire difficilement plus différentes que nous deux,
Tu es autant calme que je suis remuante,
Autant réfléchie, que je suis fonceuse
Autant discrète que je suis bruyante
Autant sage que je suis désarçonnante
C’est vrai et je m’en rend compte que je ne t’ai jamais ménagée, t’en faisant voir parfois de toutes les couleurs, t’impliquant dans mes frasques peu raisonnables, et toi, tu ne m’as jamais jugée, ou blâmée,… tu as juste « été là »…
Tu m’as suivies dans toutes les étapes de ma vie, m’as hébergé quand je pétais les plombs, m’as piqué les fesses pour la bonne cause, et moi finalement, qu’ai-je bien pu faire pour toi ?
Alors aujourd’hui, alors que tu fêtes ton anniversaire, que tu es devenue une maman et une femme magnifique, une marraine pour mon fils, je voulais te dire ces quelques mots, si importants pour moi,…
C’est vrai que ces mots là, ils n’ont pas l’habitude de sortir de ma bouche, tu le sais… mais c’était important que tu saches que je n’ai rien oublié, rien des années de plaine de jeux, de notre voyage en suisse, des spectacles qu’on inventait, des igloos qu’on construisait dans le pré de ton grand père,…
J’ai pas oublié non plus que tu détestais qu’on t’appelle fred, tu trouvais que ça faisait garçon, les araignées et poltergheist,…que tu voulais devenir vétérinaire, et ma jalousie pour ta copine Catherine, qui m’empêchait de t’avoir tout à moi,… rien, tu vois fred, j’ai rien oublié…
Voilà, juste pour te dire que je ne pouvais rêver d’une meilleure amie, juste pour te dire merci, juste pour te dire que tu comptes pour moi et que je t’aime…
Bisous ma fred !
Tu dois être bien surprise de te voir là, toi qui n’es jamais la première à te mettre en avant…
Je voulais pour une fois que ce soit de toi qu’on parle, toi ma meilleure amie depuis 25 ans !
25 ans qu’on se connaît, qu’on se côtoie, qu’on partage nos vies.
Il y’ a un proverbe qui dit « un ami c’est celui qui vous connaît et qui vous aime quand même »… je crois que ça s’applique parfaitement à toi…
En 25 ans, je crois que je n’ai pas été toujours l’amie rêvée et pourtant tu es toujours restée la même pour moi…
Il faut dire qu’on pouvait faire difficilement plus différentes que nous deux,
Tu es autant calme que je suis remuante,
Autant réfléchie, que je suis fonceuse
Autant discrète que je suis bruyante
Autant sage que je suis désarçonnante
C’est vrai et je m’en rend compte que je ne t’ai jamais ménagée, t’en faisant voir parfois de toutes les couleurs, t’impliquant dans mes frasques peu raisonnables, et toi, tu ne m’as jamais jugée, ou blâmée,… tu as juste « été là »…
Tu m’as suivies dans toutes les étapes de ma vie, m’as hébergé quand je pétais les plombs, m’as piqué les fesses pour la bonne cause, et moi finalement, qu’ai-je bien pu faire pour toi ?
Alors aujourd’hui, alors que tu fêtes ton anniversaire, que tu es devenue une maman et une femme magnifique, une marraine pour mon fils, je voulais te dire ces quelques mots, si importants pour moi,…
C’est vrai que ces mots là, ils n’ont pas l’habitude de sortir de ma bouche, tu le sais… mais c’était important que tu saches que je n’ai rien oublié, rien des années de plaine de jeux, de notre voyage en suisse, des spectacles qu’on inventait, des igloos qu’on construisait dans le pré de ton grand père,…
J’ai pas oublié non plus que tu détestais qu’on t’appelle fred, tu trouvais que ça faisait garçon, les araignées et poltergheist,…que tu voulais devenir vétérinaire, et ma jalousie pour ta copine Catherine, qui m’empêchait de t’avoir tout à moi,… rien, tu vois fred, j’ai rien oublié…
Voilà, juste pour te dire que je ne pouvais rêver d’une meilleure amie, juste pour te dire merci, juste pour te dire que tu comptes pour moi et que je t’aime…
Bisous ma fred !
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